Rester trois ou quatre mois sans salaire met bien souvent les travailleurs des organisations sociales dans des situations dramatiques.
Récemment, le quotidien Avgi a publié un reportage intéressant et bien documenté de la journaliste Alexandra Christakaki, portant sur l’accueil des réfugiés mineurs non accompagnés dans les foyers du Kinoniko EKAV. J’aimerais profiter de cette occasion pour tenter une critique objective de la situation des mineurs non accompagnés dans notre pays. Par le terme « objectif », j’entends une évaluation certes critique mais éloignée des habituelles polémiques qui donnent souvent au débat politique une allure d’empoignade footballistique.